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dimanche 10 avril 2016

Anita Blake T.23 : Jason - Laurell K. Hamilton


Quatrième de Couverture :

Note :
♣♣♣♣
Avis :
Alors là, je suis en colère ! En colère contre l'auteur et son agent/éditeur. Car ils ont décidé de faire de cette histoire un tome à part entière. Or il n'y a pas d'intrigue. Ce n'est que du cul et des discussions rasoir sur les histoires de cœur des uns et des autres. Rien d'autre. Cela mérite tout juste le titre de nouvelle à réserver les fans. Mais comme l'auteur veut un tome, l'éditeur français est contrait de le publier sous le même format que les précédents, comprendre en grand format. Quel dommage !

Car oui, dans ce tome on commence par du blabla sur la vie sentimentale de Jason et d'Anita. Des pratiques sexuelles d'Anita. Puis on enchaine sur une immense scène de Q qui occupe au moins la moitié du livre. Puis on reprend du blabla sur les pratiques des uns et des autres. Pitié que quelqu'un arrête l'auteur !
J'ai baptisé ce tome : tout ce que vous n'avez jamais voulu savoir sur le sexe lesbien. Car franchement à part parler de ça, l'auteur tourne en rond.

Bref, à moins de vouloir à tout prix lire du sexe made in Laurell K. Hamilton passez votre chemin ! Un livre que je vais m’empresser d'oublier ! Quand je pense que le précédent avait une si bonne intrigue....

Infos :
  • Jason
  • Anita Blake #23 (Anita Blake, Vampire Hunter #23)
  • Laurell K. Hamilton 
  • Bragelonne (février 2016)
  • 312 pages
  • 18.90 € (grand format)
  • Fiche
  • Commander en ligne
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dimanche 6 décembre 2015

Personne ne court plus vite qu'une balle - Michel Embareck


Quatrième de Couverture :
Pourquoi Flaco Moreno, chanteur français connu pour ses tubes à consonance hispanique et des prises de position altermondialistes, s’est-il suicidé à La Nouvelle-Orléans, où il était venu enregistrer son nouveau disque ?
Les parents du défunt, persuadés que leur fils au bonnet péruvien totémique a été assassiné, chargent Victor Boudreaux, le privé migraineux aux méthodes expéditives, d’éclaircir le mystère. Une enquête qui le conduira dans les bayous de Louisiane, puis dans la jungle du Vietnam avant de le ramener à Saproville-sur-Mer, la ville de toutes les corruptions.
Un roman policier et d’aventures musclé, picaresque et immoral. Le commerce équitable y croise le trafic de pierres précieuses, une géniale combine de blanchiment d’argent et des marchés publics véreux.
Note :
♣♣♣♣
Avis :
Je m'attendais à voyager, à être surprise et menée en bateau. J'attendais l'atmosphère du bayou et des flics un peu "à l'ancienne". Quelle déception !
Dès les premières pages j'ai senti qu'il y avait un soucis, et l'impression n'a fait que se renforcer au cours de la lecture.
J'ai l'impression que le personnage principal, Victor Boudreaux, était un personnage récurrent de l'auteur. Je ne l'avais jamais lu, donc je ne connaissais pas son historique, mais cela n'est absolument pas gênant pour la lecture.
L'auteur fait des rappels bien placés pour que l'on sache où on en est et qui est Boudreaux, et les amateurs du personnage ne devraient pas être trop dérangé par des répétitions du caractère.

Néanmoins parlons de l'intrigue. Tout part d'un cadavre...sauf qu'il faut se faire plusieurs dizaines de pages avant de le voir. Passons. Les parents du défunts veulent connaître la vérité, ils ne croient pas au suicide.
Mais cette enquête ne sera au final qu'un prétexte pour l'auteur. Sous couvert de mission, le privé voyagera à travers le monde sans réellement travailler. Jamais l'auteur n'explique clairement pourquoi il envoie son enquêteur dans tel ou tel pays, où ce qu'il va y faire.
Lorsqu'il est sur place, il n'a pas l'air d'enquêter mais d'aller de problème en problème. On a vraiment du mal à comprendre comment l'enquête peut progresser. Il ne découvre jamais rien de nouveau !



Soyons clair, les personnages ne m'ont jamais intéressés et je suis restée totalement hermétique au style de l'auteur.
Il use et abuse des juxtaposition de mots. C'est une figure de style, qui peut produire son petit effet. Mais là c'est tellement sur-utilisé que j'ai fini par ne plus lire ces passages qui n'apportent rien à l'intrigue et qui semblent même parfois un peu aléatoires ! Je ne vous parle même pas des répétitions d'expression.
"à son avis, et son avis comptait" est cité une vingtaine de fois au moins...je n'en pouvais plus !

Je ne peux pas vous recommander ce livre.


Infos :
  • Personne ne court plus vite qu'une balle
  • Michel Embareck
  • l'Archipel (septembre 2015)
  • 280 pages
  • 18.95 € (grand format papier)
  • Fiche
  • Commander en ligne
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jeudi 7 mai 2015

Le Diable vit à Notting Hill - Rachel Johnson

Quatrième de Couverture :
L'argent ne fait pas le bonheur... même quand on habite un square privé de Notting Hill, l'adresse la plus branchée, la plus recherchée, la plus snob de Londres. Prenez Clare et Mimi. Elles ont moins de quarante ans, sont mariées, copines, voisines, mènent une existence de rêve. Jusqu'au jour où débarque un milliardaire américain, célibataire, la tentation incarnée. Chassés-croisés amoureux et intrigues immobilières se succèdent alors sur la verte pelouse et ce coin de paradis si cher payé se révèle infernal. Notting Hill ? Notting Hell plutôt ! La tranquillité des beautiful people vole en éclats. 
Note :
♣♣♣♣
Avis :
Un jour que je voulais un roman drôle et détente je l'ai acheté. J'ai tardé à le lire, mais avec le recul, quel regret !
Je ne suis pas hyper friande du genre, pas plus en littérature qu'en série TV. Mais malgré tout, un peu d'humour de temps en temps peut fonctionner et je trouve alors de très bonnes lectures. Ce n'est, clairement, pas le cas ici.

L'histoire se déroule dans le cadre d'un square privé de Notting Hill, et l'action ne sort pour ainsi dire pas du square. Une fois ou deux, nous suivons les deux héroïne en excursion à l'extérieur, mais il faut bien comprendre que l'auteur veut donner une impression de huis-clos à son histoire. Tout ce qui compte c'est le square, ce qu'en font les autres, ce qu'on y voit, ce qu'on y fait, ce qu'on voudrait y faire...
On se retrouve dans un lieu où personne n’apprécie ce qu'il possède, où tout le monde joue un rôle et dépense des milliers de livres pour ... un apéritif entre voisins. Peut-être est-ce tout simplement trop éloigné de mes réalités du quotidien, mais pas un instant je n'ai trouvé cela intéressant - pas même pour le point de vue voyeur.

Histoire de tromperie, d'apparences, d'apparences, de jalousies, d'apparences, le roman tourne en rond et ne parvient pas à insuffler d'humour au fil des pages. Dès les premières lignes j'ai deviné que cela allait être laborieux, et pas un instant cela ne change.

On suit deux femmes : Clare, riche et archétype de la femme de Notting Hill, et Mimi, plus modeste mais qui aspire au même train de vie. Elles sont amies, mais on se demande comment puisqu'elle ne semble pas vraiment s'apprécier plus que cela. Elles ont deux points de vues différents sur la vie au square, mais se retrouve sur les sujets "importants" qui sont les apparences et les histoires de coucheries.

Au final, on a des centaines de pages où l'action est inexistante, au même titre que l'humour. Bref, un roman à éviter.

Infos :
  • Le Diable vit à Notting Hill (Notting Hell)
  • Rachel Johnson
  • France Loisirs (ma version) - Le Livre de Poche (mai 2011)
  • 384 pages
  • 7.10 €
  • Fiche
  • Commander le roman en ligne
Autres Tomes :
n/c
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mercredi 9 octobre 2013

Les sorcières d'Eastwick - John Updike

Quatrième de Couverture :
L'Amérique des années soixante-dix, époque d'aspirations confuses, mal affranchie des tabous religieux, de la morale et du sexe. À Eastwick, une petite ville de province, trois femmes divorcées, adeptes des pratiques occultes, trois sorcières, exercent sur les hommes et leurs concurrentes le pouvoir que leur confèrent et leur charme, et leur liberté, et leur perversité. L'arrivée de Van Horne, incarnation du Malin, déclenchera une tragédie. Par goût du pouvoir absolu, Jane, Alexandra et Sukie en appelleront en effet aux forces maléfiques pour se débarrasser de Jenny, leur disciple devenue leur rivale et, donc, leur victime de prédilection.
Note :
♣♣♣♣
Avis :
0.0
Voilà qui résume mon sentiment : WTF !
Pour commencer, je ne connais ni le film ni la série et après cette lecture je n'ai aucune envie de découvrir l'un ou l'autre.
Côté histoire c'est très lent à se mettre en place et on ne ressent aucune affinité pour l'un ou l'autre personnage. Même certains "méchants" sont passionnants à suivre, alors que là il n'y a rien à rattraper.
J'ai beau relire la quatrième de couverture "L'Amérique des années soixante-dix, époque d'aspirations confuses, mal affranchie des tabous religieux, de la morale et du sexe" j'ai du mal à voir l'intérêt. Les trois femmes ne sont pas perverses, elles ont simplement décidée de ne pas brider leur désir sexuel pour plaire à l'époque. Bon pourquoi pas.

Je m'arrête là pour l'histoire parce que tout est dans la veine du début de mon avis.
Le pire, c'est l'écriture !
C'est dense, lourd, abscons. L'auteur n'utilise pas de ponctuation, ou au minimum (à croire qu'il devait payer pour en utiliser). Je vous jure, les phrases font une demi-page minimum et l'auteur change de sujet au moins trois fois à l'intérieur !
C'est une torture à lire ! Pourtant je suis plutôt facile avec livres.

Et en plus j'apprend qu'il y en a d'autre. Au secours !
Infos :
  • Les sorcières d'Eastwick
  • John Updike
  • Folio (1991)
  • 477 pages
  • 8.70 €
  • Fiche
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U

mardi 26 mars 2013

Petit week-end entre ennemis - Barbara Wallace

Quatrième de couverture : 
Enfreindront-ils les règles du jeu ?
Le richissime Daniel multiplie les conquêtes. Son seul principe : ne jamais faire confiance à une femme. Comme la plupart de celles qui traversent son existence, Charlotte est intéressée : le milliardaire a fait l’acquisition de la ferme familiale pleine de souvenirs dont elle refuse de se séparer. Soucieux de trouver une jeune femme pour assister à l’anniversaire de mariage de sa mère, il lui propose un marché : si elle passe le week-end en sa compagnie, il lui cédera la propriété. Charlotte, qui veut à tout prix récupérer cette maison, accepte le pacte, mais impose ses conditions : pas de drague, pas de sexe. Sauront-ils respecter les termes de l’accord ?
Note :
♣♣♣
Avis : 
J'avais besoin d'une lecture pour me vider la tête, pour ne pas réfléchir. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussit !
Ce roman est cousu de fil blanc, de bout en bout. Rien n'est crédible ou surprenant et ça avance tranquillement.
Alors les petites zones mignonnes sauvent les meubles, mais dans l'ensemble je me suis ennuyée. Même si je cherchais une lecture "pas prise de tête", là je n'ai pas réussi à vraiment m'intéresser.

L'idée du contrat dès le départ est étrange. Mais bon, le séjour chez les parents avait du potentiel : entre la mère névrosé, le demi-frère...particulier et l'ex copine, il y avait de quoi faire des quiproquos et des situations intenses. Finalement c'est bon enfant et linéaire. Le milliardaire finira par succomber sans grande raison au charmante de la séduisante prof d'histoire (certes je ne bosse pas dans l'histoire, mais je n'ai jamais rencontré de milliardaire non plus).

Alors je suis un peu déçue de ma lecture et en tout cas je n'ai pas super envie de continuer dans la romance...pourtant c'est le genre de lecture idéale pour se détendre entre deux pavés.

Infos :
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Autres Couvertures :
Challenges :
ras