Quatrième de Couverture :
1408. Venise grouille de complots. Les empereurs de Byzance et d’Allemagne sont sur le point de se déclarer la guerre, et chacun compte bien s’emparer de Venise en mariant son fils à dame Giulietta. À seize ans, elle est la clé de quiconque voudrait réclamer le trône. Tycho, ancien esclave, guerrier et monstre contre-nature, fait chevalier pour avoir détruit la flotte mamelouke, ne voit plus aucune raison de sauver Venise. À quoi bon, s’il ne peut conquérir la femme qu’il aime ? Au cœur de la tourmente, apparaît une jeune fille nue et couverte de boue. Elle s’est arrachée à sa tombe pour assassiner ceux qui l’ont enterrée. Le sort de Venise repose entre les mains de ces trois êtres.
Note :
♣♣♣♣♣
Avis :
Le premier tome était un poil décevant, particulièrement parce qu'il nous promettait des choses qui ne se produisaient pas (la faute au différents éditeurs qui s'avancent un peu sur les quatrième de couverture ?).
Dans ce second tome je savais un peu plus à quoi m'attendre. Et j'ai passé un excellent moment !
On trouvera de l'action, mais pas de grands faits comme la bataille maritime du tome 1. Des escarmouches, des tensions, des duels et des assassinats, mais pas de bataille aussi épique (malgré un final...mouvementé !).
Dans ce second tome, tous les personnages ont été posé - ou au moins évoqués. Du coup, l'auteur ne perd pas de temps sur eux, et nous plonge dans le vif du sujet. Au programme, sentiments et politique. Un régal.
Car dans cette Venise fantasmée, les sentiments sont dangereux et ont un rôle politique aussi important qu'une décision consciente.
Tycho, cet être qui ignore encore qui il est, prend de plus en plus d'importance parmi les puissants vénitiens, pourtant il se mêle sans peine au peuple. On pourra reprocher à l'auteur de toujours réussir à le sortir de situation mortel sans effort ou presque. Il s'en tire un peu facile après de multiples accusations. Sa relation avec Giulietta s'apaise un peu lorsqu'ils arrivent enfin à poser des mots sur les différents événements qu'ils ont vécus. Ils peuvent alors devenir amis, alliés et amants.
Les actions de Tycho lui reviendront dans la figure et feront émergé un être sur lequel il faut compter. C'est d'ailleurs étrange de voir Tycho changer de rôle. Il quitte réellement avec elle le rôle de garçon, pour passer à celui de figure paternelle, de maître, d'adulte.
L'intrigue est ici aussi politique, mais cela semble plus franc. Comme l'auteur ne doit pas tout expliquer, que ce soit en terme de situation géopolitique ou de description de personnage, il peut immédiatement se plonger dans le cœur du sujet. Le lecteur est donc tout de suite plonger dans l'action.
J'ai vraiment passé un excellent moment avec ce second tome qui s'est révélé plein de surprise. Complexe, il change des romans où l'action brute est le véritable moteur.
Un petit mot sur le Duc Marco, personnage bouffon et effacé dans le premier tome, qui se révèle réellement ici. Il est finalement bien plus fin qu'il ne le laisse paraître, et pourrait prendre encore plus d'importance par la suite.
Dans ce second tome je savais un peu plus à quoi m'attendre. Et j'ai passé un excellent moment !
On trouvera de l'action, mais pas de grands faits comme la bataille maritime du tome 1. Des escarmouches, des tensions, des duels et des assassinats, mais pas de bataille aussi épique (malgré un final...mouvementé !).
Dans ce second tome, tous les personnages ont été posé - ou au moins évoqués. Du coup, l'auteur ne perd pas de temps sur eux, et nous plonge dans le vif du sujet. Au programme, sentiments et politique. Un régal.
Car dans cette Venise fantasmée, les sentiments sont dangereux et ont un rôle politique aussi important qu'une décision consciente.
Tycho, cet être qui ignore encore qui il est, prend de plus en plus d'importance parmi les puissants vénitiens, pourtant il se mêle sans peine au peuple. On pourra reprocher à l'auteur de toujours réussir à le sortir de situation mortel sans effort ou presque. Il s'en tire un peu facile après de multiples accusations. Sa relation avec Giulietta s'apaise un peu lorsqu'ils arrivent enfin à poser des mots sur les différents événements qu'ils ont vécus. Ils peuvent alors devenir amis, alliés et amants.
Les actions de Tycho lui reviendront dans la figure et feront émergé un être sur lequel il faut compter. C'est d'ailleurs étrange de voir Tycho changer de rôle. Il quitte réellement avec elle le rôle de garçon, pour passer à celui de figure paternelle, de maître, d'adulte.
L'intrigue est ici aussi politique, mais cela semble plus franc. Comme l'auteur ne doit pas tout expliquer, que ce soit en terme de situation géopolitique ou de description de personnage, il peut immédiatement se plonger dans le cœur du sujet. Le lecteur est donc tout de suite plonger dans l'action.
J'ai vraiment passé un excellent moment avec ce second tome qui s'est révélé plein de surprise. Complexe, il change des romans où l'action brute est le véritable moteur.
Un petit mot sur le Duc Marco, personnage bouffon et effacé dans le premier tome, qui se révèle réellement ici. Il est finalement bien plus fin qu'il ne le laisse paraître, et pourrait prendre encore plus d'importance par la suite.
Infos :
- Lame Bannie (The Outcast Blade)
- Assassini #2
- Jon Courtenay Grimwood
- Le Livre de Poche (novembre 2015)
- 608 pages
- 20.99 € (grand format) - 7.90 € (poche) - 5.99 (numérique)
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n/c
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