Quatrième de Couverture :
Simon Spier, 16 ans, est gay. Personne n’est au courant. Les seuls moments où il est vraiment lui-même, c’est à l’abri derrière l’écran de son ordinateur. C’est sur un chat qu’il « rencontre » Blue. Il ne sait pas grand-chose de lui sinon qu'ils fréquentent le même lycée. Simon commence à être raide dingue de Blue mais cela reste secret. Jusqu'au jour où il commet l'erreur monumentale de laisser ouverte sa session sur l’ordi du lycée. Martin, un de ses camarades de classe, lit ses emails et menace de tout révéler.
Note :
♣♣♣♣♣
Avis :
Voici un roman que j’avais hâte de lire. Et je n’ai pas été déçue !!
C’est un roman qui nous parle de l’homosexualité et de la difficulté que peut traverser un jeune faisant son coming-out (volontairement ou non).
L’auteur a choisi une situation relativement heureuse. Car même si Simon souffre de cette situation, le chantage et les conséquences de ce chantage, il a des amis et de la famille sur qui il peut compter. Il se cache même auprès d’eux. Mais Simon accepte et vit plutôt bien sa sexualité. Il ne le crie pas sur tous les toits et n’en a jamais parlé auprès de ses proches.
L’histoire n’est pas conçue comme un suspens. Il n’y a pas de grands rebondissements, pas de drames ou autre. Au contraire, c’est un roman feel-good que je pourrai qualifier « d’humeur égale ». On suit la vie d’un adolescent comme il en existe des milliers. Qu’ils soient homosexuels ou non, Simon représente l’archétype de la majorité des lycéens de nos pays occidentaux.
Mais l’auteur s’est intéressé à la sexualité. Car aujourd’hui encore, l’homosexualité n’est pas acceptée facilement. Même si votre famille, ou vos amis, ou vous-même, l’acceptez, il y a TOUJOURS quelqu’un pour en faire tout un plat.
Mais ici, je trouve le personnage plein d’espoir. En effet, Simon le vit très bien. Enfin, aussi bien que possible. C’est un garçon équilibré et qui a des soutiens. Je trouve que c’est vraiment une histoire à recommander à tous nos adolescents. Qu’ils soient ou non homosexuels, ce roman rappelle que nous sommes tous les mêmes. Nous ne nous définissons pas par notre orientation sexuelle.
Le ton est vraiment agréable, car même si nous suivons les doutes du personnage, il n’y a pas de morosité. Il y a même une certaine légèreté bien plaisante. J’aurai aimé que les personnages secondaires soient un peu plus développés et mis en avant mais bon. Cela reste l’histoire de Simon.
En tout cas j’espère que j’aurai l’occasion de lire d’autres romans de l’auteur sur cette période. Je trouve que c’est vraiment bien et qu’il faut plus de livres comme cela dans nos rayonnages.
Bref, lisez-le !
C’est un roman qui nous parle de l’homosexualité et de la difficulté que peut traverser un jeune faisant son coming-out (volontairement ou non).
L’auteur a choisi une situation relativement heureuse. Car même si Simon souffre de cette situation, le chantage et les conséquences de ce chantage, il a des amis et de la famille sur qui il peut compter. Il se cache même auprès d’eux. Mais Simon accepte et vit plutôt bien sa sexualité. Il ne le crie pas sur tous les toits et n’en a jamais parlé auprès de ses proches.
L’histoire n’est pas conçue comme un suspens. Il n’y a pas de grands rebondissements, pas de drames ou autre. Au contraire, c’est un roman feel-good que je pourrai qualifier « d’humeur égale ». On suit la vie d’un adolescent comme il en existe des milliers. Qu’ils soient homosexuels ou non, Simon représente l’archétype de la majorité des lycéens de nos pays occidentaux.
Mais l’auteur s’est intéressé à la sexualité. Car aujourd’hui encore, l’homosexualité n’est pas acceptée facilement. Même si votre famille, ou vos amis, ou vous-même, l’acceptez, il y a TOUJOURS quelqu’un pour en faire tout un plat.
Mais ici, je trouve le personnage plein d’espoir. En effet, Simon le vit très bien. Enfin, aussi bien que possible. C’est un garçon équilibré et qui a des soutiens. Je trouve que c’est vraiment une histoire à recommander à tous nos adolescents. Qu’ils soient ou non homosexuels, ce roman rappelle que nous sommes tous les mêmes. Nous ne nous définissons pas par notre orientation sexuelle.
Le ton est vraiment agréable, car même si nous suivons les doutes du personnage, il n’y a pas de morosité. Il y a même une certaine légèreté bien plaisante. J’aurai aimé que les personnages secondaires soient un peu plus développés et mis en avant mais bon. Cela reste l’histoire de Simon.
En tout cas j’espère que j’aurai l’occasion de lire d’autres romans de l’auteur sur cette période. Je trouve que c’est vraiment bien et qu’il faut plus de livres comme cela dans nos rayonnages.
Bref, lisez-le !
Infos :
- Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens (Simon vs. the Homo Sapiens Agenda)
- Becky Albertalli
- Le Livre de Poche Jeunesse (avril 2017)
- 352 pages
- 6.90 € (poche) - 11.99 € (numérique) - 16.90 € (broché)
- Fiche Goodreads
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Autres Couvertures :
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