vendredi 22 juillet 2011

Alexia T.1 : Quand nous étions morts - Francesc Miralles


Quatrième de Couverture :
C'est l'histoire de Christian, un jeune Espagnol de 17 ans qui, en perdant son frère jumeau, a perdu le goût de vivre.
La seule chose qu'il aime encore : errer dans les cimetières comme une âme en peine, de la musique classique plein les oreilles, en lisant les grands Romantiques. Jusqu'au jour où il entend un chant étrange, comme venu d'outre-tombe, un chant féminin qui le touche au plus profond de son être. Un chant... ou peut-être un rêve ? Deux mois plus tard, il la rencontre enfin. Alexia. Un seul regard et, pour la seconde fois, sa vie bascule.
Avis :
Ce roman, tout le monde en a parlé. Tout le monde a dit qu'il était "trop bien", "original", "époustouflant", j'en passe et des meilleures. 
Donc forcement je l'ai trouvé en occasion pour me faire mon opinion. 

Première impression : le livre en lui même est beau. Avec sa tranche violette qui va si bien avec sa couverture noire brillante. La photo en noir et blanc est superbe, mais malheureusement noyée dans la couverture. Le choix du titre, je m'en fiche un peu puisque c'est autant l'histoire de Retrum que celle d'Alexia

Premières pages : désillusion ! L'écriture m'a plutôt ennuyée et je n'ai pas réussi à m’intéresser outre mesure à cette histoire. Le mal-être adolescent est un sujet vu et revu, mais néanmoins il peut toujours y avoir de bon textes. Là non. C'est une histoire sur un adolescent qui a perdu son jumeau dans un accident, et qui perd gout à la vie. C'est presque un simple syndrome de dépression adolescente (la fameuse mauvaise période), simplement déclenché par un accident qui a coûté la vie à un être cher. 

Voilà, il devient membre de Retrum, rencontre des gens particuliers, pas méchants même plutôt gentils, juste originaux. Il rencontre une fille, Alexia, fascinante et vénéneuse. Mais tout bascule, et Christian se retrouve balloté par les événements. 

Le changement de comportement de la copine de classe, l'accident tragique à Londres etc. rien ne m'a fait trembler, vibrer ou frissoner. Je n'ai eu aucune empathie - mais peut-être est-ce parce que je l'ai vécu moi-même (moins l'accident) et que du coup ça me semble carricatural. 
Dommage j'étais un super public, mais là du tout. 

Bref, je ne comprend pas cet engouement mais si les autres ont aimés tant mieux. C'est néanmoins sans regret que je me désisterai de ce livre au profit de Accrocdeslivres !


Une petite couv" de la suite ,

3 commentaires:

  1. bah moi j'ai bien aimé ^^ pas grave dans ce cas que tu me passes le livre, ça ne choquera pas qu'il soit absent de ta biblio ^^

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  2. Comme toi j'ai eu énormément de mal avec ce livre.
    Seules les 100 dernières pages ont su captiver mon attention.
    "La confrérie des Pâles"... Pff ! Qu'est s'qui faut pas entendre !

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  3. Je me dis que peut-être c'est du à la traduction, mais bon...
    J'aime pas ^^

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